Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

12/03/2008

LEONARD DE VINCI : TRAITE DE LA PEINTURE

"La poésie est une peinture qui se sent au lieu de se voir"

22/02/2008

CHANTS, POEMES ANCIENS, VIEILLES PRIERES

Songeons aussi à de vieilles prières qui nous ont consolés, bien que nous n'ayons nullement pensé à leur signification, à des chants et à des poèmes anciens, pour lesquels il n'est pas d'explication précise, mais qui, récité devant nous, inondent nos coeurs de toutes sortes de jouissances et de souffrances.

(Stefan GEORGE, - 1878-1933, allemand)

16/02/2008

SUPPLICE !

Ce qui fit leur bonheur deviendra leur supplice.

Des lettres relues, des vers retrouvés,

D'anciennes fleurs et des rubans fanés qui furent chers,

Des parfums qu'on a trop aimés : supplice !

(Sainte Beuve)

14/02/2008

BONNE FETE AUX AMOUREUX

cc4576112f1c806b3cf953cb30acd977.jpgJe souhaite une BONNE FETE AUX AMOUREUX,

A TOUS CEUX QUI S'AIMENT......

en couple, jeunes, moins jeunes, plus âgés, il n'y a pas

d'âge pour aimer. BISES.

14:15 Publié dans blog | Lien permanent | Commentaires (10) | Tags : fête, culture, journal intime

12/02/2008

JE PENSAIS

Je pensais que l'eau de la rivière était claire

Je pensais que mon jardin serait toujours vert

Je pensais que les oiseaux ne chantaient que pour moi

Je pensais que le monde tournait toujours à l'endroit

Je pensais qu'il suffisait de se lever chaque matin

Pour avoir dans les yeux un soleil radieux

Je ne pensais pas trouver un jour sur mon chemin

Des assassins vagabonds qui rendent le coeur tout bleu

Je ne pensais pas que j'aimais tant la tramontane

Je ne pensais pas que j'aimais tant l'orage

Je ne pensais pas que le soleil brillait derrière les montagnes

Je ne pensais pas que je retrouverai le courage.

(17.10.07)

40c6f9c56b7a1f234a4a7b43b5513061.jpg

09/02/2008

NE LISEZ PAS CES VERS

Ne lisez pas ces vers, si mieux vous n'aimez lire

Les esprits de mon coeur, les feux de mon martyre,

Non, ne les lisez pas, mais regardez aux Cieux,

Voyez comme ils ont joint leurs larmes à mes larmes,

Oyez comme les vents pour moy lèvent les armes,

A ce sacré papier ne refusez vos yeux.

(Complainte à sa dame - Théodore AGRIPPA D'AUBIGNE - poème du 16 è siècle)

06/02/2008

LE POETE COMME REMEDE

Le poète propose de l'air, de l'espace et de l'amour qui sont les dimensions de la grandeur universelle. Si l'on considère la maladie de la Cité, le poète pourrait être son remède. Mais pour être utile à la Cité, il faut qu'un médecin prescrive le poète et que la Cité se reconnaisse comme malade.

Gwénael de BOODT

05/02/2008

REVE

Voici mon mal : rêver.

La poésie est la chemise de fer aux mille pointes cruelles que je porte sur mon âme. Les épines sanglantes laissent tomber les gouttes de ma mélancolie.

(Ruben DARIO 1867-1916 Nicaraguayen, Chants de vie et d'espérance)

01/02/2008

MEPRIS

Le poète méprise volontiers le monde utilitaire où il est mis et le monde utilitaire méprise volontiers le poète à cause de son inutilité.

(RAMUZ - poète Suisse)

28/01/2008

LE POETE EST VOLEUR DE FEU

"Le Poète se fait voyant par un long, immense et raisonné dérèglement de tous les sens. Toutes les formes d'amour, de souffrance, de folie ; il cherche lui-même, il épouse en lui tous les poisons, pour n'en garder que les quintessenses. Ineffable torture où il a besoin de toute la foi, de toute la force surhumaine, où il devient entre tous le grand malade, le grand criminel, le grand maudit - et le suprême Savant ! Car il arrive à l'inconnu ! Puisqu'il a cultivé son âme déjà riche, plus qu'aucun ! ...

(Le poète est voleur de feu - Arthur RIMBAUD)