24/10/2008
SUR LA ROUTE
Sur l'autoroute la voiture roulait
La route nue devant nous défilait
Notre voyage comme du papier à musique
Etait réglé. Les étapes poétiques
Comme la couleur orange du temps
Me séduisaient et m'enveloppaient
Seul un léger souffle du vent
Par-dessus la fenêtre me rafraîchissait
Nous n'avions que nous deux à penser
Quelques rares voitures nous doublaient
Tu étais prudent, tu aimais
Ces longs voyages qui te berçaient.
(29.05.08)
23:16 Publié dans poésie amour | Lien permanent | Commentaires (5) | Tags : écriture, journal intime, poésie, poèmes, livres
Commentaires
Ne pas trop se bercer, tout de même...
Écrit par : laura | 27/10/2008
Oui, il faut faire attention.... C'était une façon de dire.
Écrit par : elisabeth | 27/10/2008
J'avais compris et je plaisantais...
Écrit par : laura | 28/10/2008
Quand j'ai écrit le mot "berçaient", j'y pensais justement mais il fallait faire la rime. Et puis mon mari aime tellement conduire, c'est une drogue.
Écrit par : elisabeth | 28/10/2008
Heureusement qu'il aime conduire, vu son métier; où en est-il?
Écrit par : laura | 28/10/2008
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