10/04/2008
80 HIVERS
Hé quoi ! Vous êtes étonnée
Qu'au bout de quatre vingts hivers,
Ma muse faible et surannée
Puisse encore fredonner des vers ?
(VOLTAIRE - à Madame LULLIN).
22:48 Publié dans citations | Lien permanent | Commentaires (2) | Tags : culture, écriture, poésie, poèmes
Commentaires
Ah! Ce Voltaire! Quel homme!
Écrit par : enriqueta | 17/04/2008
Un homme vivant et génial...
Écrit par : LAURA | 30/04/2008
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