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10/04/2008

80 HIVERS

Hé quoi ! Vous êtes étonnée

Qu'au bout de quatre vingts hivers,

Ma muse faible et surannée

Puisse encore fredonner des vers ?

(VOLTAIRE - à Madame LULLIN).

Commentaires

Ah! Ce Voltaire! Quel homme!

Écrit par : enriqueta | 17/04/2008

Un homme vivant et génial...

Écrit par : LAURA | 30/04/2008

Les commentaires sont fermés.