10/06/2008
L'ATTENTE
Comme l'attente est mortelle
Les pensées, obsédantes
La négation, pénétrante.
Jusqu'à perdre mes ailes
Je marchais dans la peur
Recherchant la moindre lueur
Ce sont les dernières heures
Ne me restent que mes pleurs.
(10.06.08)
15:42 Publié dans poésie amour | Lien permanent | Commentaires (10) | Tags : culture, écriture, littérature, poésie, poèmes
Commentaires
Ca me rappelle un poème que j'ai publié il y a peu...
Écrit par : laura | 10/06/2008
En ce moment je relis le journal (de Juliette) et je me dis qu'elle a eu beaucoup de patience mais au bout d'un moment l'attente est infernale au point de faire pleurer.
Écrit par : elisabeth | 10/06/2008
Elle attendait Alain mais les vacances d'été sont arrivées, les dernières heures sont arrivées et elle croyait qu'elle ne le reverrait plus du tout de toute sa vie.
Écrit par : elisabeth | 10/06/2008
Bonsoir Elisabeth,
Effectivement, Il n'y a rien de plus cruel que l'attente.
Écrit par : christian | 11/06/2008
C'est beau mais triste.
Écrit par : enriqueta | 19/06/2008
eT UN MOMENT J'ESPeRE QU'ELLE A DIT JE VAIS VOIR ailleurs...
Écrit par : laura | 20/06/2008
Oui Laura, elle a été voir ailleurs pendant les vacances d'été qui ont suivi...
Écrit par : elisabeth | 20/06/2008
Ouf... je préfère Juliette ainsi...
Écrit par : laura | 20/06/2008
L'heureux élu est Lionel, un charmant Parisien. Mais chut... attendons le mois de juillet pour en parler....
Écrit par : elisabeth | 20/06/2008
Comme un feuilleton donc...
Écrit par : laura | 22/06/2008
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