15/10/2007
EXTRAIT DE POESIES DIVERSES DE TU FU, poète Chinois (712-770)
De caractère peu commun
J'aime à la folie les beaux vers ;
Si ma phrase ne frappe personne,
Je la travaillerai jusqu'à la mort.
23:00 Publié dans citations | Lien permanent | Commentaires (11) | Tags : Culture, poésie, poèmes, écriture
Commentaires
Très jolie métaphore de la phrase cisélée...
Écrit par : Laura | 16/10/2007
Je n'ai pas le temps de travailler les vers jusqu'à ma mort... voilà ce que je pourrais dire. Bonne nuit Laura.
Écrit par : elisabeth | 17/10/2007
Bonjour,
Tu as l'air d'aimer la poésie, aussi je te recommande ce forum de poésie. Par contre la présentation est obligatoire mais le site est très convivial
http://amourdepoesie.forummotion.com/
A bientôt
Amicalement
Écrit par : Dragon | 18/10/2007
Je n'ai pas le temps et je n'aime pas le faire mais je persiste à dire que c'est une métaphore, Elisabeth...
Je peux aller voir aussi, Dragon?...
Écrit par : Laura | 18/10/2007
Oui, j'ai vu ce que tu as dis : une métaphore. Et moi je voulais rigoler....
Écrit par : elisabeth | 18/10/2007
Merci Dragon, quand j'aurai le temps, je pourrai alors lire tout.
Écrit par : elisabeth | 18/10/2007
Ok, excuse-moi, je suis un peu fatiguée.
Bon we à toi
Bisous
Écrit par : Laura | 19/10/2007
Belle leçon d'obstination...
Salut El! je ne connaissais pas ce blog!
Écrit par : Bona | 23/10/2007
Merci à vous tous. Je vois que j'ai bien fait de parler de ce blog de poésie sur mon 1er blog. Je dis cela pour Bona qui ne connaissait pas. Bonne nuit.
Écrit par : elisabeth | 23/10/2007
J'adore ce poète Chinois taoïste. Sa vie est elle-même une poésie splendide. Selon, la légende il buvait énormément. Et un soir ayant trop bu, dans son inspiration poétique, il voulut rejoindre le reflet de la lune qui se mirait dans la rivière. A cet endroit, il avait l'habitude d'écrire ses poémes sur la berge.
Il mourut noyé...et l'on ne retrouva jamais son corps car il avait rejoint la lune.
D'aucuns disent que c'est pure légende. Je trouve qu'elle sied bien avec le personnage non-conformiste qu'il était.
De plus, j'aime beaucoup ses Haïkus.
Merci de remettre à l'Honneur un poète qui semblait définivement enterré dans son silence.
Merci, Élisabeth de lui avoir redonné Vie par quelques vers.
Mais, un poète meurt-il vraiment ou ne fait-il que s'absenter ne serait-ce que durant quelques siècles. Vaste question...!
Bien Cordialement, Bruno.
Écrit par : BRUNO LEROY. | 27/10/2007
Merci Bruno, je ne connnaissais pas la légende. Je ne connaissais pas non plus la vie de ce poète. Merci de m'avoir éclairée.
Écrit par : elisabeth | 30/10/2007
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