08/10/2007
L'IVRESSE
L'ivresse présente du matin au soir
Qui comble un manque sans espoir
Qui nous met au bord du gouffre
Quand la tête et l'âme souffrent
L'ivresse des mots sur le papier
Qui sont débités sans être reniés
En vertige doux et libérateur
Qui veut atteindre les hauteurs
L'ivresse qui court après le désir
De ton amour en devenir
Que tu cherches à contrôler
Mais que tu veux abuser.
L'ivresse de l'amour d'un soir
Celle qui donne de l'espoir,
Qui te met au bord du gouffre
Que le corps et les sens déchiffrent.
(24.06.07)
22:45 Publié dans poésie amour | Lien permanent | Commentaires (15) | Tags : Journal intime, amour, écriture, poésie, poèmes
Commentaires
Il me semble que c'est bientôt le résultat de ce concours qu'on a fait toutes les 2...
Écrit par : Laura | 09/10/2007
Laura merci, mais je n'ai pas fait le concours pour le thème de l'ivresse car à cette époque je n'avais pas encore écrit ce poème. Je n'avais pas eu l'inspiration au moment voulu pour participer. Mais cela ne fait rien, je n'ai participé qu'à un concours jusqu'à maintenant et je n'ai eu aucun prix. J'écris pour moi d'abord, les concours, je verrais après. Bonne journée.
Écrit par : elisabeth | 10/10/2007
Tu sais, pour avoir 20 prix, j'en ai fait beaucoup des concours; tu ne peux pas juger sur un seul...
Écrit par : Laura | 10/10/2007
Tu exprimes fort bien toutes ces ivresses que j'ai connu. Bravo!
Écrit par : enriqueta | 14/10/2007
En disant que tu n'écris que pour toi, tu as oublié que tu avais 3 blogs et 2 publications à ton actif...
Écrit par : Laura | 14/10/2007
Merci Enriqueta, merci beaucoup.
Laura : oui j'écris d'abord pour moi. Oui j'ai 3 blogs et j'ai publié parce que l'on m'a encouragée à le faire. Mais au départ, c'est pour moi que j'écris, pour sortir ce que j'ai dans la tête. Et ensuite par jeu.
Écrit par : elisabeth | 14/10/2007
Les concours sont aussi des jeux...
Ecrire pour soi, c'est pour moi le journal intime ... papier
Écrit par : Laura | 15/10/2007
Merci Laura,
J'écris et c'est agréable. Il faut cependant avoir l'esprit libre pour cela. A cela.
Écrit par : elisabeth | 15/10/2007
Crois-tu que je l'ai?
Écrit par : Laura | 16/10/2007
L'a ton jamais, d'ailleurs?
Écrit par : Laura | 16/10/2007
Merci pour tes encouragements;du fond de mon cachot, je pense aussi à toi et à ton mari (comment va t-il?)...
J'espère avoir enfin des bonnes nouvelles à te donner.
Écrit par : Laura | 16/10/2007
Merci Laura, mon mari va bien, il a 3 séances de rééducation par jour et pas le week end. Au fait, il n'est pas rentré à la maison ce week end, c'est encore trop tôt, il doit rester avec la jambe allongée toute la journée. Il a un fauteuil roulant pour se rendre aux étages de la clinique où il fait sa rééducation. Mais il commence à s'ennuyer de ne pas pouvoir faire ce qu'il veut à part la télé, la lecture du journal, des magazines, du sudoku, il n'y a pas grand chose à faire à la clinique. Il se fait des copains et des copines (malades ou aides soignants, infirmières, femmes de ménage dont une que nous connaissons car son mari était collègue avec mon mari). Bref, il faut avoir de la patience dans la vie. Bonne journée et bon courage.
Écrit par : elisabeth | 16/10/2007
Chez nous, au bout d'un an toujours rien de nouveau et malgré toute la patience du monde, ça fait long, non?
Écrit par : Laura | 16/10/2007
Oui cela fait long mais il y a des moments où l'on ne voit rien venir à l'horizon et les bras tombent... J'ai vécu de cette façon pendant 10 ans, à attendre que quelquechose se déclenche pour arrêter la machine infernale, en espérant remuer l'immobilisme des autres...
Écrit par : elisabeth | 17/10/2007
uN PETIT QUESTIONNAIRE chez moi si tu as le temps et/ou l'envie d'y répondre et de le transmettre:
http://lauravanel-coytte.hautetfort.com/archive/2007/10/18/questionnaire-transmis-par-irene.html#comments
Écrit par : Laura | 18/10/2007
Les commentaires sont fermés.