14/01/2007
SI TU PRETES L'OREILLE
Dans ma modeste maison
Après un voyage sans horizon
Elle est arrivée sans bagages
Par un beau jour de juin
Avec son propre langage
Pas celui des êtres humains,
Elle t'emporte très loin là-bas
Dans des pays que tu ne connais pas
Et si tu sais lui parler
La toucher sans la brusquer
Elle te fait découvrir des merveilles
La guitare, si tu prêtes l'oreille
Te fera danser sans chaussures
Les planètes la nuit se réveillent
Charmées de son chant si pur
Arrivé jusqu'à mes oreilles
Elle te parle de chagrin, d'amour,
De mélancolie mais aussi de beaux jours.
Depuis des siècles fidèle,
Elle arrive gonflée de soleil.
Sous les doigts d'un gai musicien
Elle te chantera un chant, le sien.
(15/10/06)
10:45 Publié dans poésies diverses | Lien permanent | Commentaires (3) | Tags : Ecriture, journal intime, musique
Commentaires
plein de gaité ce poème ..
bon Dimanche
Écrit par : bernard | 14/01/2007
J'ai découvert ton nouveau blog en passant chez Gb
J'aime beaucoup je reviendrais te lire
Bisous
Écrit par : Annie | 14/01/2007
Une vraie note de plaisir...
Bonne semaine en mots.
Écrit par : Ambroise | 15/01/2007
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